Le terminal de Rouen
Le terminal conteneurs de Rouen, d’une surface de 140 000 m2, est opéré par deux acconiers que sont SOMAP et AMS. Ces deux entités ont souhaité mutualiser un certain nombre de ressources afin d’accroitre leur compétitivité. Au-delà de certains moyens de manutention, elles ont fait appel à TGI pour mettre en place un système informatique commun, pour le TOS et le back-office.
Les attentes de l’entreprise
L’accroissement de la compétitivité s’entend sur 2 axes :
- Les services aux clients : le nouveau système doit permettre d’augmenter le nombre de service proposés aux clients, et la qualité de ceux-ci notamment par une amélioration de la productivité du terminal
- La diminution des coûts : le nouveau système doit permettre à deux opérateurs de partager les données et de mutualiser les processus et les ressources du terminal (Parc, portes d’entrées et sorties, engins, …) générant ainsi une diminution des coûts d’opérations pour chaque acconier.
La solution apportée par TGI
OSCAR est le TOS choisi pour répondre aux besoins du site, décrit précédemment, de par sa capacité prouvée sur de plusieurs terminaux à opérer un terminal multi-acconier avec le même système (La Réunion, Guadeloupe…). Oscar permet en effet de partager toutes les données et les processus mutualisables tout en conservant la confidentialité des données privées de chaque acconier. Nous avons démarré cette nouvelle configuration, janvier 2022, avec la mise en place d’Oscar chez SOMAP simultanément à l’adoption de processus et de moyens communs avec AMS pour la gestion du parc conteneurs.
Le démarrage a nécessité la présence de formateurs TGI pendant 3 semaines à plein temps sur site puis de présences plus occasionnelles dans les semaines qui suivirent.
Les résultats
Le terminal a pu mutualiser les processus d’entrées et sorties sur le parc, ainsi que la gestion du parc de conteneurs, qui sont désormais opérés avec des moyens communs. Les flux échangés avec la place portuaire (cargo Community system) et les clients ont été optimisés et accélérés. Les engins de manutention ont été mutualisés, diminuant de ce fait leurs coûts d’utilisation.
D’autre part, grâce à la mutualisation de moyens informatiques, les acconiers sont désormais prêts à entamer une deuxième phase de développement qui permettra d’enrichir les services fournis aux clients et d’améliorer la fluidité des opérations sur le terminal.
